En 1977 est enregistrée une première perte de 25 millions de francs français.
L'année suivante, le résultat consolidé est négatif de 108 MFF.
Une première réorganisation a lieu, touchant notamment le
dispositif parisien qui passe de 900 personnes en 1977, à 697 en 1981.
Ce n'est pas suffisant. En 1980, la perte consolidée atteint 113 MFF.
Le Groupe s'allège d'une vingtaine d'exploitations chroniquement
déficitaires, en contracte une dizaine d'autres, et cherche à se
désengager totalement de ce qui lui reste d'activités industrielles.
Ce nettoyage se solde en 1981 par la perte la plus lourde qu'a connue SCOA:
200 MF pour SCOA SA et 150 MF en consolidé.
Le Groupe sera heureusement soutenu par son actionnaire
majoritaire, Paribas, et par les Pouvoirs Publics, également
soucieux de sauvegarder une des rares sociétés de commerce
françaises et un réseau unique de distribution en Afrique noire.
L'année suivante, le résultat consolidé est négatif de 108 MFF.
Une première réorganisation a lieu, touchant notamment le
dispositif parisien qui passe de 900 personnes en 1977, à 697 en 1981.
Ce n'est pas suffisant. En 1980, la perte consolidée atteint 113 MFF.
Le Groupe s'allège d'une vingtaine d'exploitations chroniquement
déficitaires, en contracte une dizaine d'autres, et cherche à se
désengager totalement de ce qui lui reste d'activités industrielles.
Ce nettoyage se solde en 1981 par la perte la plus lourde qu'a connue SCOA:
200 MF pour SCOA SA et 150 MF en consolidé.
Le Groupe sera heureusement soutenu par son actionnaire
majoritaire, Paribas, et par les Pouvoirs Publics, également
soucieux de sauvegarder une des rares sociétés de commerce
françaises et un réseau unique de distribution en Afrique noire.